Le porte-empreinte confectionné par Sophie Nithart fait l’objet, secteur par secteur, d’un contrôle avec un silicone à prise rapide des éventuelles sur-extensions. Ici la zone para-tubérositaire.
Le déplacement à gauche et droite de la mandibule et de son apophyse coronoïde modèle ensuite la pâte thermoplastique lors de la phase de remarginage qui réalise le joint para tubérositaire. Un aspect mat de la surface signe le contact effectif avec les organes paraprothétiques.
La limite d’extension postérieure de l’appareil est fonction de la physiologie du voile du palais. La zone dépressible est ici appréciée dans son extension et sa dépressibilité à l’aide d’un brunissoir à amalgame.
La stabilité du porte-empreinte individuel est obtenue par différents tests. Ici, test puis retouche de la surextension dans la niche rétro mylo-hoïdienne.