• Évaluer – diagnostiquer – comprendre.
• Toutes les douleurs n’obéissent pas aux mêmes mécanismes physiopathologiques.
• Le choix du traitement dépend des mécanismes physiopathologiques de la douleur.
• La douleur est une expérience complexe intégrant des aspects sensoriels, émotionnels et cognitifs.
• Ces composantes reposent sur des voies et centres nerveux spécifiques qui permettent de comprendre la clinique : douleurs aiguës vs chroniques / douleurs primaires vs secondaires / douleurs nociceptives, inflammatoires, neuropathiques, idiopathiques.
• La douleur n’est pas le signe majeur des parodontites, sauf dans les cas de maladies ulcéro-nécrotiques.
• Il n’y a pas de lien entre intensité de la douleur et sévérité de la parodontite.
• La douleur est souvent dentaire, liée à la perte d’attache secondaire à la parodontite.
• Le diagnostic est une démarche médicale : il requiert analyse et synthèse.
• L’examen clinique ne permet pas toujours de préjuger de l’état anatomo-pathologique de la pulpe.
• Santé pulpaire, vitalité, sensibilité sont des notions différentes, voire opposées.