Scanner intra-oraux : un investissement d’avenir ?


 Compte-rendu de l'intervention du Dr Jean-François Chouraki
 

Enfin, Jean-François Chouraqui a fait part de sa grande expérience pour présenter le potentiel des scanners intra-oraux à l’heure où l’offre des systèmes d’empreinte optique devient importante.

 

 

 
Photo n°1
Cahier des charges qu’un praticien doit étudier avant d’investir dans un système d’empreinte numérique.
Par ouverture, on entend la possibilité de transférer les fichiers numériques codant l’empreinte vers des logiciels tiers, que cela soit au laboratoire ou au sein du cabinet.
La rentabilité n’est pas uniquement financière, elle peut apparaître grâce au gain de temps généré par les empreintes numériques.

 

 

Photo n°2
Cas clinique exposant les possibilités de la CFAO au fauteuil en une séance clinique. Ici, la préparation d’une prémolaire, la prise d’empreinte, la modélisation de la future couronne puis sa fabrication par une usineuse numérique et sa caractérisation (cuisson et maquillage).
Le résultat final est parfaitement fonctionnel et l’intégration esthétique est assurée.

 

 

Photo n°3
Un fichier propriétaire (propre à un fabriquant) contient plus d’informations que le format STL (format habituel pour les fichiers 3D dentaires).
Cependant la précision des volumes dentaires est préservée et autorise la fabrication d’éléments prothétiques adaptés.